Cette semaine, je souhaiterais partager avec vous l’univers de Loic Le Groumellec.. Accompagné par Alan Stivell, voici le chemin de ce peintre entre le sacré et le profane. Douce semaine à tous (tes) Eveline56
«J’appartiens à cette catégorie d’artistes qui pense qu’on peut faire un même tableau toute sa vie sans jamais se répéter. » Loïc Le Groumellec




« Depuis les années quatre-vingt, cet artiste tient une place particulière dans la peinture française. Ses toiles saturées de blancs et de noirs s’impriment immédiatement dans nos esprits par leur beauté plastique et leur singularité. Sa peinture est sans concession, travail obsessionnel hanté par la spiritualité où les motifs refusent toute projection psychologique ou narrative ; menhirs, mégalithes, croix et dolmens peuplent et révèlent un univers minimaliste à mi-chemin entre le sacré et le profane. «Conscient du peu de pertinence du cloisonnement entre figuratif et abstrait, le peintre s’arrête à la forme graphique et chromatique qui lui semble la mieux susceptible, non pas d’imiter un motif, mais d’en donner l’essentiel » »
Itzhak Goldberg.

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