Être arbre. Un arbre ailé. Dénuder ses racines dans la terre puissante et les livrer au sol et quand, autour de nous, tout sera bien plus vaste, ouvrir en grand nos ailes et nous mettre à voler. Pablo Neruda
« On ne peut pas être malheureuse lorsqu’on a ceci : L’odeur de la mer, le sable sous les doigts…l’air, le vent… » Irène Némirovsky
« Je contemple avec ravissement les douces graminées chatoyantes que le vent de Bretagne agite sans cesse.. Je suis tranquille, j’apprécie cette accalmie après tout le stress de ce moment incroyable que nous venons de vivre.. Respiration! » Eveline
LA MER
J’ai besoin de la mer car elle est ma leçon : je ne sais si elle m’enseigne la musique ou la conscience : je ne sais si elle est vague seule ou être profond ou seulement voix rauque ou bien encore conjecture éblouissante de navires et de poissons. Le fait est que même endormi par tel ou tel art magnétique je circule dans l’université des vagues.
I1 n’y a pas que ces coquillages broyés comme si une planète tremblante annonçait une lente mort, non, avec le fragment je reconstruis le jour, avec le jet de sel, la stalactite, et avec une cuillerée de mer, la déesse infinie.
Ce qu’elle m’a appris, je le conserve! C’est l’air, le vent incessant, l’eau et le sable………
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