Faire le vide en soi – Puis laisser le bien-être Envahir notre esprit.
Plus d’envie d’ailleurs, Plus de passé ou futur, – Ici et maintenant !
Profiter de l’instant Pendant des heures Le temps du bonheur.
Stéphen Moysan
François Dilasser « clown » ( vers 1948)
D’après le sage
D’après le Sage, Ainsi évolue le jeu de la vie : Les enfants jouent à cache-cache, Les adultes se cachent en eux même ! – Essayons de nous trouver.
Quand tout est à vendre Qui pense à s’acheter une conscience ? À faire don de soi, il y a tant à gagner ! Un vrai trésor ne perd pas de sa valeur, S’il est partagé.
Stéphen Moysan Les cris de la mélancolie
François Dilasser « Arbre » (1998)
Un souhait exaucé
Le verrai-je se réaliser Mon vœu d’amour et de paix Plus que tout je l’espère.
Prière en pleine nature – Une envolée d’hirondelles Brise le silence du ciel.
Pour certains : un signe, Un bref instant de grâce, Pour d’autres : le hasard.
« La pandémie de coronavirus continue de se propager en France… Je me sens démunie et triste. J’ai bien compris que nous devons rester confinés chez nous pour tenter de ralentir la courbe de progression du coronavirus et éviter la saturation totale des hôpitaux. Cela je peux le faire, être patiente et solidaire. C’est la moindre des choses. Soyons raisonnables.. Je remercie du fond du cœur tous ceux qui sont là pour nous, pensons très fort à eux…. «
Comme il est étonnant Celui qui dans ce monde Ne s’émerveille pas.
Aussi, avec légèreté, À travers les flaques, Marcher sur les nuages
Stephen Moysan
1er Novembre
Alors que pour rire Des enfants jouent À la guerre,
Ciel de Toussaint – Les nuages pleurent Les morts.
Au cimetière L’envol d’un corbeau Accompagne les prières.
Stephen Moysan
Un homme ratisse des feuilles
Un homme ratisse des feuilles en tas dans sa cour, un monceau, appuyé sur son râteau, il les brûle absolument toutes. Le parfum emplit la forêt des enfants s’arrêtent et respirent l’odeur qui, dans quelques années, deviendra nostalgie.
Jim Morrison
Un chagrin n’arrive jamais seul Mais la Terre reste mon amie J’aime la Terre, j’aime les feuilles Les rouges, les jaunes, les mortes aussi Je rêve avec le vent qui passe
Parfois au-dessus de ma tête Avec le temps dans sa besace Comme l’âme trouée des poètes J’irai où les chemins me disent À demi-mot dans un murmure Même si au bout mon corps se brise Comme le cœur en contre-lumière Il y a des matins ou la lune Me manque comme une enfant lune Une herbe folle sous la dune Où mes espoirs se sont perdus
Alléluia..
Nous partirons un jour ou l’autre Se retrouver au même endroit Un peu les mêmes, un peu un autre Où le chagrin n’existe pas Un chagrin n’arrive jamais seul Tu le sais bien, toi qui me pleure Le ciel est devenu linceul Il était temps que vienne l’heure
Alléluia..
Alléluia, nous partirons un jour ou l’autre Alléluia, se retrouver au même endroit Alléluia, un peu les mêmes, un peu un autre Alléluia..
Quelques photos prises lors d’une balade en forêt, merveilleux décors pour ce message de la toussaint.. Alléluia fredonne Marc Lavoine.. Emotions..
Faire le vide en soi –
Puis laisser le bien-être
Envahir notre esprit.
Malzenn aime se promener et son endroit préféré, nous l’appelons » la cabane aux oiseaux ». C’est un observatoire ornithologique, belle cabane au toit de chaume, en bordure d’un étang. À l’horizon, l’océan nous fait signe, si près qu’il nous berce du murmure de ses vagues… Le bonheur est là! Douce semaine, bises bretonnes,
Plénitude
Faire le vide en soi – Puis laisser le bien-être Envahir notre esprit.
Plus d’envie d’ailleurs, Plus de passé ou futur, – Ici et maintenant !
Profiter de l’instant Pendant des heures Le temps du bonheur.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.