Je fais les tiroirs
De ma mémoire
Pour te trouver toi………..
Mon coup de foudre « chanson » de cette rentrée 2025 Feu! Chatterton – Mille vagues
(vidéo officielle)
Quelques jours à peine Difficile de croire Que tu n’es plus là Un soir de déveine Foutu hasard Enfin, c’est comme ça
La vie est soudaine Surtout quand elle s’en va Mille vagues t’emportent Mille vagues t’emportent Mille vagues te renversent Tu ne connais plus la peur
Je relis à peine Ton dernier message Qui dit à demain Demain éternel Ton nouveau rivage Si proche et si loin
La vie est soudaine Surtout quand elle s’en va Mille vagues t’emportent Mille vagues t’emportent Mille vagues te renversent Tu ne connais plus la peur Mille vagues t’emportent Mille vagues t’emportent Mille vagues nous traversent Mille vagues On ne connaît pas l’après
Je fais les tiroirs De ma mémoire Pour te trouver toi Ce dont je me rappelle Maintenant qu’il fait noir Je le garde pour moi Je te garde pour moi Je te garde……….
« Cette chanson bouleversante évoque la perte d’un être cher et éveille en moi des émotions fortes. Je partage « mille vagues » avec vous ! » LABYRINTHE, leur quatrième album, sortira le 12 septembre 2025. Douce semaine, Eveline56
« Devant un paysage marin de l’Île de Bréhat, une femme âgée raconte la vie des pêcheurs et des marins à deux jeunes filles silencieuses, attentives à ses paroles. » La douceur de ce tableau d’Alexandre Séon ( 1855/1917 ), peintre du symbolisme, nous laisse imaginer un moment de partage et de transmission entre les générations. J’aime le contempler !
Veneza,Italia « J’espère qu’on y entendra la mer » 2023 Simon Buret
“The embrace” {mothers) Simon Buret 2023
Peindre c’est ranger sa nuit . C’est ouvrir le coeur en grand, laisser s’en échapper l’invisible qui nous fait , lui tenir la main; c’est chanter sa texture, sentir , trouver, attraper , puis déposer l’emotion devenir matière. Peindre c’est oublier la trace du temps , plier les jours , mâcher les nuits , transformer son silence , son désir, sa peine, sa joie, sa devotion, en couleurs, en traits, en prières ; c’est se dévouer à quelque chose qui appelle , qui chante, qui rugit, plus fort, plus grand que soi . Soi, minuscule qui tient le pinceau , pointé vers l’absolue vérité , le monstre de beauté qui se cache dans chaque création sincère. Peindre c’est prier . C’est “appeler” le sauvage, le sacré , à vibrer au soleil .Simon Buret
Je suis vraiment fan du groupe de pop rock français Aaron, qui est formé par Simon Buret et Olivier Coursier. Je souhaite vous faire connaître le talent moins connu de l’artiste peintre Simon Buret, qui est également le chanteur du groupe.
Bravo à l’artiste Simon Buret , son univers me fascine autant que sa voix ! Eveline56
La pierre et le vent s'en vont ensemble
Parler d'amourLa pierre et le vent n'oublient rien
De leur nature opposéeL'une est sédentaire
L'autre est subliméeL'un voyage sans papiers
L'autre patiente depuis des millions d'années
La pierre et le vent pour parler d'amour
S'en vont ensemble
Vous les avez croisésRozenn Evain
Cette semaine, je partage avec vous quelques photos des rochers et de l’océan qui bordent ma plage préférée. Le poème de Rozenn Evain l’accompagne car c’est un recueil que j’affectionne tout particulièrement. Belle semaine à tous !
Cette semaine, je vous fais découvrir le pays merveilleux des pierres debout. Les pierres debout, aussi connues sous le nom depierres dressées, étaient autrefois employées pour construire des maisons et des clôtures dans le Finistère Sud.
Je vous souhaite un merveilleux week-end ! Eveline 56
Kerascoët la chaumière de Goelanla chaumière de Ben Avenmur de pierres deboutNévezKerviniec
Le territoire des pierres debout est un lieu unique en France entre Nevez et Trégunc. Les «Mein Zao», leur surnom en Breton, sont des constructions spéciales qui font partie intégrante de l’histoire de la Bretagne.
L’origine des Pierres Debout en Bretagne
Au XVIIIe siècle, il y a eu un essor démographique considérable à Névez et Trégunc. Les agriculteurs de l’époque ont donc dû augmenter rapidement la surface cultivée pour répondre à la demande et nourrir la population. Hors, d’énormes blocs de granit empêchaient de travailler correctement les terres.
Les agriculteurs firent d’abord appel aux tailleurs de pierre qui travaillaient dans l’Aven pour les aider à débiter le granit, mais ces derniers demandaient à être payés en argent. Les agriculteurs demandèrent donc aux marins qui les aidaient déjà aux champs en dehors des période de pêche. Les marins se faisaient payer en nature. Ainsi ils purent récupérer le granit pour construire des maisons en pierres debout à moindre frais.
« C’est un homme. Elle se l’est dit ainsi, d’un bloc. Ce mot-là, « homme », dès qu’elle l’a vu. Il occupait entièrement le cadre de la porte. Un homme. Massif. Plus homme qu’une pierre est pierre. Cette phrase comme un coup que par la suite elle recevra chaque fois, s’imposant, comme cet homme-là. » Isabel préfère le silence aux longs discours, quitte à paraître farouche ou même hostile. Quitte à prendre des décisions subites, que parfois elle ne s’explique pas elle-même. Ainsi, lorsqu’elle quitte son mari sur un coup de tête, avec sa fille et deux valises, elle ne sait pas vraiment où elle souhaite aller, ni ce qu’elle compte faire de cette soudaine liberté. A Poullic, en Bretagne, elle loue une chambre chez Violette, une vieille dame qui l’aide à retrouver peu à peu le goût de vivre. Isabel commence à travailler à la bibliothèque municipale et, en parallèle, amorce une correspondance avec un homme dont elle ne sait rien, sinon qu’il purge une longue peine à la maison d’arrêt de Poissy. De la correspondance aux rencontres, à ce parloir où ils vont se retrouver face à face, il n’y a qu’un pas. Mais celui-là est décisif. Le silence, il va falloir le briser.
EXTRAIT
Maison centrale de Poissy Septembre 1994
« Elle ne bouge pas. Elle le regarde, gibier de nuit pris dans les phares d’une voiture. C’est-à-dire qu’elle regarde devant elle et, dans le faisceau de ses yeux, il y a cet homme. Il porte un large pull de camionneur, bordeaux, à fermeture éclair. Dans le pull informe, ce corps. Compact, lourd. Lui, il ne dit rien, ne sourit pas. Sa bouche est fine comme une balafre.
Elle se l’est représenté de mille façons, mais pas de celle-là. Il y a bien eu une photo d’identité voici quelque temps, mais elle devait être vieille, ou il a grossi, ou il a triché, c’était un autre sur la photo.
Mais cet homme-là.
Il s’est assis de l’autre côté de la table métallique, maintenant, ils sont face à face, son cœur à elle bat si violemment qu’elle arrime son pied à celui de la table pour faire taire les mouvements de son buste. Elle a l’impression que chaque battement projette une giclée de sang devant ses yeux et, à cause de ce brouillard, elle ne voit pas le mince sourire, les yeux, plissés, noirs, très enfoncés, lorsqu’il dit :
— Alors, c’est vous.
— Oui, murmure-t-elle d’une voix qui est un souffle.
Il la regarde. Elle baisse les yeux.
— Je vous fais peur ?
Elle secoue lentement la tête, se sent pitoyable.
— Vous m’imaginiez autrement ?— Oui… Non… Ce n’est pas grave.«
Le livre de Paule du Bouchet, « Le parloir, » est un très beau cadeau offert par mon fils. Je l’en remercie car c’est mon coup de foudre littéraire en ce début d’année ! J’ai trouvé cette histoire bouleversante. l’écriture de l’auteure est délicate, lyrique ! Je vous le conseille vivement !Eveline56
« Un hommage à l’attention, à l’audace et à la solidarité des marins. » Pierre Chanteau,
Contemplez cet œil étrange, fait de verre et de céramique, qui orne parfois un rocher, parfois une jetée en bord de mer ! » Au milieu d’un fragment d’isolateur électrique qui symbolise l’iris, on trouve des billes de couleurs variées placées dans des goulots de bouteilles. La Cornée se compose de petits tessons de vaisselle en faïence. » Il s’agit de l’œuvre de Pierre Chanteau, un artiste originaire de Carantec en Bretagne.
Le décès de Pierre Chanteau est survenu le 28 mars 2025, mais ses 113 yeux en céramique ont laissé une marque durable dans les communes côtières et les îles du Finistère. .👁️ 👁️ »
À explorer au fil de nos promenades 👁️👁️ Eveline56 Bizh
« Le premier œil de Pierre Chanteau, scellé à Locquénolé.
Le livre de Pierre Chanteau “Taol-Lagad Serr-Lagad”
Pierre Chanteau expliquait sa démarche bénévole :« Cet œil en verre et en faïence est un hommage artistique et poétique aux milliers d’hommes et de femmes qui ont porté et portent secours aux marins en difficulté. Les marins de l’antiquité peignaient de grands yeux à la proue de leurs navires, ces yeux étaient censés protéger les équipages des dangers de la navigation. Le Finistère et son littoral, à la proue de l’Europe ! 🙏
⛵👁️« Je ne voulais pas que cet œil soit exposé au grand public mais plutôt dans un endroit comme une vieille cale, un rocher, où l’objet puisse être submergé à marée haute » ⛵👁️ Pierre Chanteau 💙🧜♀️🐦 🌊
« Belle rencontre au hasard de mes recherches sur les artistes bretons : Les tableaux de Pervenche Mahe, avec leurs couleurs multicolores et leurs rêves fous, m’ont vraiment enchanté ! « Eveline56
» Il y a des chemins qui éblouissent, transpirent, culminent et dépassent les limites, ils débordent en hors piste et abritent naufragés, rêveurs, fous et passionnés » Pervenche .M.
Aie confiance en toi Petite, dans ton âme brille une pépite. Laisse là t’inonder Petite, elle ruisselle sans limite. Pervenche .M.
« Moutons en liberté » Pervenche Mahe
« A l’Abri dans un coin de parapluie. » Pervenche Mahe
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